« La presse guinéenne ne se porte pas bien » indique le président de l’URTELGUI

Aboubacar Camara, président de l'URTELGUI

Ce mardi 02 novembre, l’humanité a célébré la journée internationale de la lutte contre l’impunité et les crimes commis contre les journalistes.

A cette occasion, Aboubacar Camara, président de l’URTELGUI, soutient que la presse guinéenne, malgré les sensibilisations, continuent à souffrir.

« Nous célébrons cette journée dans un contexte difficile car nous avons perdu des confrères, il y a eu de disparition des journalistes mais jusqu’à présent aucune justice n’est faite », regrette-t-il.

Le président de l’URTELGUI ajoute : « nous avons du mal à avoir accès à l’information publique ensuite les hommes des médias privés souffrent beaucoup de l’exercice de leur métier », déplore-t-il.

A l’endroit de ses confrères journalistes, Aboubacar Camara leur demande de continuer à défendre la liberté de la presse et surtout de faire le travail dans les règles de l’art.

Abdourahmane Bah

Quitter la version mobile