Confrontés à plusieurs violations de leurs droits dans l’administration parlementaires, comme ils l’ont dénoncé dans plusieurs médias, les fonctionnaires de cette institution, avaient prévu de mettre en place une structure syndicale ce mercredi 22 décembre 2021 pour porter leurs revendications. Mais ils seraient empêchés par les responsables de l’institution, comme le secrétaire général Mohamed Bérété.
« Nous réclamons conformément à l’article de la charte de la transition, la mise en place section de la structure syndicale au sein de l’administration parlementaire. Qui est un droit acquis. Les travailleurs ont besoin d’être syndiqué. Par ce qu’il y a des mots dont nous souffrons, nous avons besoin des structures émanant de nous dans la légalité et dans la légitimité, pour porter nos préoccupations au niveau des décideurs de l’administration parlementaire » a affirmé Ismaeil Gassimou Kalissa fonctionnaire parlementaire.
Opposé à l’installation de cette structure, comme disent les travailleurs, l’administration qui a fermé la salle de l’hémicycle devant eux, ont adressé une lettre à l’USTG. Une information confirmée par le représentant de la centrale.
« Nous avons reçu un courrier de la direction des ressources humaines de l’administration parlementaire, nous demandant de sursoir à toute activité parlementaire. L’USTG, la centrale a accepté temporairement à se plier à la décision de la direction de la ressource humaine. En attentant qu’on taise nos divergences et qu’on voie dans quelle mesure légale on peut mettre se bureau syndical qui est irréversible. Les travailleurs nous demandent de mettre en place ce bureau on le mettra vaille que vaille » a promu Camarade Baldé Alpha secrétaire chargé de l’éducation ouvrière et la formation à la centrale USTG, venu assister à cette installation du bureau avorté.
Tous engagé à mettre en place cette structure, les travailleurs promettent de se battre jusqu’à l’obtention de leurs revendications.
Abdoulaye Camara
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