Après la libération sous condition de Cherif Bah, Abdoulaye Bah Cellou Baldé, et Ousmane Gaoual Diallo, le président de l’UFDG El Hadj Cellou Dalein Diallo a réagi en ces termes :
« Je me réjouis pour mes collaborateurs qui vont retrouver la chaleur de la vie familiale et continuer à se soigner à domicile. Mais il ne faut jamais oublier qu’ils sont des innocents tout comme beaucoup de leurs camarades tels qu’Etienne Soropogui, Foniké Menguè et Ismael Condé qui croupissent en prison depuis plus de 8 mois ainsi que Keamou Bogola HABA, déféré hier à la maison centrale. Cette libération conditionnelle ne peut réparer et même atténuer cette injustice et les préjudices physiques et moraux qu’elle a causés à ces innocentes victimes, à leurs familles et à l’UFDG, leur Parti », a-t-il écrit sur sa page Facebook quelques heures après la libération des détenus.
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