Même si le mémorandum est considéré comme une proposition des coalitions politiques et faîtières de la société, il ressemble à une alerte adressée au président Mamady Doumbouyah sur le déroulement de la transition. Pour ceux qui l’ont rédigé, la transition se déroule sans visibilité. Le point qui semble les pousser à réagir est celui de l’organisation des élections. La junte a demandé une somme de 600 millions de dollars pour le retour à l’ordre constitutionnel. Un montant que trouve les acteurs engagés dans le cadre de dialogue exorbitant. Les acteurs socio politiques réclament sa réduction mais indique comprendre la préoccupation du gouvernement.
Mohammed Lamine KABA, président du parti Fidel signataire du document affirme que certains points peuvent être reporter ultérieurement pour permettre de revoir le montant proposer pour la sortie de la transition. Par exemple, le gouvernement compte à cette occasion augmenter le nombre de députés à la prochaine assemblée nationale qui doit être installée. Et pour procéder à cette question certaines collectivité devront être créer souligne le politique qui pense que cette question peut être dérogé. Le président du parti Fidel a prévenu qu’avec ce montant réclamé, il est évident qu’il y aura un glissement du calendrier. Ces acteurs sociopolitiques demandent des concertations pour trouver des solutions aux points litigieux.
Yacine DIALLO
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